Il y en a eu des belles montées pendant ces 31000 kilomètres parcourus. Mais de toute, la plus dure qui m’a obligé à poser pieds à terre et à descendre de ma monture de 70 kg, c’est celle-là, entre le Lac Atitlan – Panajachel et Solola (Guatemala) : 2,5km à 11% de moyenne par une chaleur tropicale sans air. Imaginez!
Il y eut aussi la longue montée entre Balsas et Celendin (Pérou), 45km et 2600m de dénivelé, mais par cette distance et les lacets réguliers, on a le temps de s’y habituer.