SELVA PARANAENSE DEL IGUAZÚ

El río Iguazú, que significa en guaraní « Agua grande », desemboca en el Paraná y corre con una anchura de 1.500 metros, salpicando islas e islotes para desembocar en un barranco de lava formado hace 120 millones de años. Colinda los remanentes de la Selva Paranaense.

De escaso valor, ese “bloque de selva que linda con varios saltos de agua” se volvió ser un lugar de primera en la esfera turística. Al fin del siglo XIX, fue incorporado al patrimonio nacional argentino. Fue declarado Parque Nacional en 1934, uno de los primeros parques argentinos. ¿Porqué se encuentra considerado como el « grâal » del viajero del continente suramericano? Lire la suite

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REFLEXIONES EN EL YABOTÍ POR LA HUELLA GUARANí

Un día frío, un día calor. No sé como tengo que vestirme. Atraviesando la provincia de Misiones, en la región litoral de Argentina, estoy asombrado por la belleza de la naturaleza intacta por su parte extrema oriental, y preocupado por el avance de la agroindustria y negocio maderero por sus otras partes. Ya, del lado paraguayo y brasileño no queda casi nada del ecosistema nativo : la selva paranaense (mata atlântica en português) con solo 7% de sus remanentes. Lire la suite

SIX JOURS INOUBLIABLES DANS LA JUNGLE AMAZONIENNE

Après plusieurs tentatives avortées depuis Pucallpa, Iquitos puis Leticia, me voici arrivé à Manaus. Grâce aux recommandations et commentaires de voyageurs sur le Routard.fr, je sollicite les services de l’agence de voyages Amazon Green Tours. Rejoint par Miguel pour cette visite, nous allons vivre une sacrée belle expérience dans le « poumon vert de la planète Terre ». Lire la suite

TRAVERSÉE DE L’AMAZONIE PAR L’AMAZONE (2/2)

La ville d’Iquitos est très touristique, avec beaucoup de gringos. Choc. C’est comme une île au milieu de l’océan. Ici tout est cher, car le coût de transport est élevé pour acheminer jusque là-bas. Les rabatteurs touristiques nous harcèlent, en proposant services de guide, tours, et ayahuasca. La cérémonie sacrée de l’Ayahuasca, réalisé par les peuples indigènes de l’Amazonie, attire mon attention depuis plusieurs mois. Mais je ne veux pas vivre cette expérience comme partie d’un business mais plutôt comme un partage d’une connaissance ancestrale traditionnelle. J’attendrai, car Iquitos n’est pas le bon endroit pour cette expérience authentique sans beaucoup de préparation. Lire la suite

TRAVERSÉE DE L’AMAZONIE PAR L’AMAZONE (1/2)

Arrivé à Huanuco, puis Tingo Maria par une route asphaltée mais complètement défoncée, pire qu’un chemin de terre. Descente vertigineuse d’altitude, des 5000 mètres de la Cordillère blanche à 200 mètres seulement à Pucallpa. Dixième ville péruvienne, elle est très désorganisée et sale. J’arrive après une journée marathon de plus de 165 km, à travers la chaleur pesante. Dès les 10 heures du matin, la chaleur est étouffante. Quand j’ai le malheur de m’arrêter, il m’est difficile de repartir tellement je me sens mou de moiteur, abattu par cette chape de plomb. Lire la suite

AL AMAZOONICO SE CUIDAN ANIMALES SILVESTRES

La vida de este trozo de selva tropical húmeda del Napo cambio para siempre cuando recibió esta persona de visita. Hace mas de un cuarto de siglo, Angelica, una suiza, visito la selva con una otra pareja extranjera y con Remigio, un guía indigeno (nacionalidad Kichwa) . Sorprendidos de no ver muchos animales, tuvieron la idea loca de emprender a proteger la selva para que regresen los animales. Poco a poco, con el soporte de donantes del mundo entero (cooperativa suiza GSR), bloques de selva primaria y secundaria fueron comprados a dueños extranjeros y protegidos bajo ley. Se llama Selva Viva, del mismo apellido que la ONG que maneja los proyectos turísticos, el AmaZOOnico. Ahora son 1750 hectareas protegidas, a pesar de varios obstáculos administrativas y legales por parte de las autoridades. Lire la suite

SAVOIRS ETHNOBOTANIQUES A PROTEGER POUR LE FUTUR

En waorani, Omaere signifie « Nature de la jungle ». Quatre jours en compagnie de Chris Canaday, un biologiste et ornithologue canadien, installé depuis plus de 10 ans à Puyo, Equateur. Le Parc pédagogique Omaere souhaite promouvoir la conservation, l’éducation environnementale et le reboisement. Il s’agit du premier parc ethnobotanique d’Amérique latine.

Grâce aux savoirs ancestraux indigènes Shuars et Kichwas, il s’agit de faire découvrir la selva, forêt tropicale très humide (4700 mm d’eau par an!), située à 900m d’altitude, sur les rives de la rivière Puyo. Fondé par une femme Shuar et deux femmes françaises, le parc de plus de 15 hectares protège plus de 1500 espèces végétales d’importance pour les communautés indigènes. Ouvert au public depuis 1994, il est possible de visiter Lire la suite